UNE GEOMETRIE POUR L'UNIVERS : Sommaire

 

 

Liste des fiches

  • A      : Aperçu A
  • B      : Aperçu B
  • F 1   : Les bases de ce travail.
  • F 2   : Les dimensions de l'espace-temps infini
  • F 3   : L'expansion du segment et de la droite.
  • F 4   : L'Univers-segment en expansion. Annexe à la fiche 4.
  • F 5   : L'Univers segment, autre représentation
  • F 6   : Les dimensions de l'espace-temps fermé.
  • F 7   : La spirale V/V ;  Vitesse 2pi/s . Annexe à la fiche 7.
  • F 8   : La spirale V/V ;  Vitesse 1 dm/s.
  • F 9   : Du découplage à aujourd'hui.
  • F 10 : Les distances dans l'Univers. Les distances proportionnelles à l'âge.
  • F 11 : La dilatation de l'espace et du temps.
  • F 12 : Quelques distances particulières de l'espace-temps.
  • F 13 : Les deux distances des galaxies.
  • F 14 : Des chiffres.
  • F 15 : Stephen Hawking et la "poire" du temps. La figuration du temps
  • F16 : La prune du temps. La spiraloïde de révolution..
  • F17 : Le diamètre apparent.
  • F 18 : L'effet de loupe cosmologique
  • F 19 : Les zones aveugles.
  • F 20 : L'horizon cosmologique
  • F 21 : Le paradoxe des jumeaux
  • F 22 : La vue sur l'Univers.
  • F 23 : Le rayonnement cosmologique.
  • F 24 : Le cône de lumière future.
  • F 25 : L'Univers plat
  • F 26 : La gravitation.
  • F 27 : Les énigmes résolues ?
  • F 28 : Les mirages de l'Univers profond
  • F 29 : L'Univers a-t-il une forme ?
  • F 30 : Concevoir l'espace courbe.
  • F 31 : L'avenir, hasard et nécessité
  • F 32 :  L'Univers, la Vie, les Sociétés

 

Notes :

AVERTISSEMENT

L'adéquation des mathématiques avec les phénomènes physiques, biologiques et humains me préoccupe depuis longtemps. De même, contemplant les nuits étoilées, pour le caractère infini de l'Univers. J'ai donc essayé une recherche basée sur les informations nouvelles apportées par les astronomes, les cosmologistes, ces dernières années, en partant de données fondamentales simples.

Voilà un Univers fini, illimité, et qui s'étend sans arrêt. C'est d'abord le cercle en expansion sur lequel un point chemine.

Voilà encore une donnée première inexorable : 300 000 kilomètres/seconde. C'est la vitesse de la lumière, mais c'est aussi la vitesse dont s'accroît l'Univers pris dans son ensemble.

J'ai pensé au ballon d'enfant que l'on gonfle, et sur lequel une fourmi chemine droit devant elle. Mon petit fils a mis cela dans son ordinateur. Le reste a suivi.

J'ai trouvé des complices dans les livres des cosmologistes. Merci à eux. Cependant, dans cette abondante bibliothèque, les points de vue du physicien et du mathématicien ont du mal à fusionner. En général, c'est le physicien qui parle. Avec une assurance impressionnante il décrit, par exemple, l'état de l'Univers un milliardième de seconde avant le Big bang, et se désole de ne pouvoir plus en approcher.

Un mathématicien aurait moins de mal à mettre en jeu les logarithmes, la géométrie fractale, etc.

Pourtant certains chercheurs, et non des moindres, reconnaissent l'apport important (certains disent décisif) des mathématiques dans la compréhension de la structure de l'Univers.

A commencer par Galilée qui a dit, parlant de l'Univers : " Il est écrit dans le langage des mathématiques, et ses caractères sont des triangles, des cercles et d'autres formes géométriques sans lesquelles il est humainement impossible d'en comprendre un seul mot."

Plus tard Albert Einstein a écrit : "Je suis convaincu que la construction purement mathématique nous permet de découvrir les lois et les concepts, lesquels nous donnent la clé pour comprendre les phénomènes de la nature".

Plus récemment Marc Lachièze-Rey termine ainsi son livre Au delà de l'espace et du temps : "Depuis plus de trois mille ans, les progrès de la physique se sont fondés sur les enrichissement de la géométrie, des lieux d'Aristote à la géométrie de Newton jusqu'aux géométries non euclidiennes …

Et il conclut : La physique des générations future sera géométrique ou ne sera pas."

 

Dans ma recherche personnelle, comme je suis parvenu à des résultats originaux, raisonnables, cohérents avec les observations, je pense que ce travail intéressera autour de moi ceux et celles que les figures géométriques en mouvement n'effraient pas.

Pour moi, cela a été une passionnante aventure. Je ne regarde plus le ciel de la même façon. 

André ODRU

BIBLIOGRAPHIE

H. Andrillat - Introduction à l'étude des cosmologies

Marc Lachièze-Rey - Initiation à la cosmologie. Au delà de l'espace et du temps.

John Gribbin - A la poursuite du Big Bang

Stephen Hawking - L'Univers dans une coquille de noix. Une brève histoire du temps

Albert Jacquard - La science à l'usage des non-scientifiques.

Christian Hakenholz - Nombre d'or et mathématique

Hubert Reeves – Patience dans l'azur, et divers ouvrages.

Laurent Nottale - L'Univers et le lumière.

Nottale, Chaline, Grou – Les arbres de l'évolution

Brian Greene – L'Univers élégant

Yves Paccalet – La Terre et la Vie

Joseph Silk – Le Big Bang

Jean-Marc Lévy-Leblond – L'esprit de sel et autres ouvrages.

Léonard Mlodinov - Dans l'œil du compas.

 

MESURES DE DISTANCES ET DE VITESSES

1 unité astronomique (ua) = 500 secondes-lumière = 150.106 km (distance Soleil-Terre).

1 année-lumière = 63 240 ua = 9,46.1012 km soit 9460 milliards de km

1 parsec (pc) = 3,26 al = 3,08.1013 km = 206 265 ua.

1 Mégaparsec (Mpc) = 3,26.106 al

 

 

Derniers chiffres (2003) : Age de l'Univers, 13,7 milliards d'années.

Expansion : 72 km/s/Mpc,

Soit 0,022 m/s par année lumière,

Soit 0,022.10-3 km/s multiplié par 13,7.109 = 0,30.106 km/s = 3.105 km/s soit 300 000 km/s pour la globalité de l'Univers.