AXIOMATIQUE D’UN MODELE

GEOMETRIQUE POUR L’UNIVERS

 

Aperçu A

 

Je suis préoccupé par la forme de l’Univers et son fonctionnement . La lecture des livres des vulgarisateurs, et ils sont nombreux, pas toujours en harmonie entre eux, ne me satisfait pas complètement.

Lorsqu’ils considèrent l’Univers autour d’eux, tous se placent du point de vue le plus évident en premier lieu, celui de l’observateur qui contemple l’Univers de plus en plus grand au fur et à mesure que ce que l’on observe est de plus en plus éloigné. Sans tenir compte que, s’éloignant dans le passé,  l’illusion d’optique est inévitable : ce qui est vu était de plus en plus concentré.

Il m’est venu l’idée d’utiliser la géométrie et les données cosmologiques établies solidement par les physiciens pour structurer l’axiomatique d’un modèle mathématique simple, puis de mettre ce modèle à l’épreuve  de ce que découvrent les astronomes et qu’ils révèlent dans leur publications.

Voici l’axiomatique que je propose et dont j’essaie de tirer le maximum de conséquences.

1 - L'Univers est fini, sans bord.

2 - Il est en expansion.

3 - Il existe, pour ses particules en mouvement, pour toute action à distance, une vitesse maximum, indépassable, notée c. Dépendante des longueurs et du temps, elle est garante de la régularité de l'écoulement du temps et garante des dimensions de l'espace.

4 – En première approximation, le temps s’écoule régulièrement pour un observateur immobile en un point de l’Univers.

5 – Le Modèle est construit sur les deux principes suivants :

a)      L’expansion linéaire de l’Univers, dans sa globalité, a lieu à la vitesse c ;

b)      la lumière s'y meut à la vitesse c, dans le vide. Il en est de même pour la gravitation.

Mon Univers peut être étudié géométriquement :

a)      dans la première dimension. Il s'agit donc d'un cercle en expansion. Le périmètre du cercle n'a pas de limite inférieure : il n'atteint jamais le zéro. Il n'a pas de limite supérieure.

b)      dans la deuxième dimension. Il s'agit d'une surface sphérique en expansion. Mêmes remarques.

c)      dans la troisième dimension, celle où nous vivons. Il s'agit alors d'un volume "courbe", sans bord, en expansion. Notre cerveau ne peut le concevoir, mais nous pouvons lui étendre (lui extrapoler) les attributs géométriques établis dans les première et deuxième dimensions.

Les raisons du choix de mes axiomes en sont d’une part ce que nos savons de la vitesse de la lumière, et d’autre part le fait que les observations des objets les plus lointains montrent qu’ils « semblent fuir à une vitesse proche de celle de la lumière ». D’où l’hypothèse d’un Univers en expansion à la vitesse c.

Les constatations géométriques faites dans les trois dimensions peuvent être confrontées avec les observations astronomiques des astrophysiciens, abondantes ces dernières années grâce au satellite Cobe. C'est le but de mes fiches.

Dans le domaine de la physique, il existe une limite inférieure à la dimension de mon modèle, donnée par la physique quantique. (Constante de Planck). Je ne traiterai pas ce sujet.

PREMIERES CONSEQUENCES.

Première dimension : Le cercle actuel a un périmètre de 14 milliards d'années-lumière. (Précisons : 13,7 Giga a.l. ) Une portion de ce cercle à notre échelle humaine est assimilable à un segment de droite. C'est aussi le cas à l'échelle de la planète.

Dans la deuxième dimension, à notre échelle, une portion de la surface sphérique est assimilable à un plan.

Dans la troisième dimension, un espace à notre échelle est euclidien

Remarquer que la vie s'est créée sur la Terre à une date où l'espace y était devenu euclidien depuis longtemps, depuis même avant sa formation.

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RESUME DE MES CONCLUSIONS, DEVELOPPEES DANS LES FICHES

Dans la première dimension, le point mobile parcourt ce que j’appelle la spirale V/V.

Cette spirale m’est donnée par un logiciel. C’est le trajet d’un point qui parcourt un cercle à une vitesse V alors que le périmètre de ce cercle s’accroît à la vitesse V (Figures fiches 7 et 8)

Un second point se trouve symétriquement sur la deuxième spirale aboutissant à l’observateur

L’observateur voit ces deux points dans les directions des deux tangentes aux deux spirales (Fiche 22 )

Le point où se trouve l’observateur est situé à la fois :

-sur la tangente à cet endroit au cercle-Univers actuel ;

-sur la tangente à cet endroit à la spirale. Cette dernière représente le temps

L’observateur se trouve donc au carrefour de l’espace et du temps.

 

Deuxième dimension. C'est la surface sphérique en expansion. Un grand cercle mesure 13,7 milliards d'années lumière de périmètre. Les photons primordiaux (de la déconnexion) parcourent un ensemble de spirales formant une surface courbe que j'appelle "spiraloïde" .

La partie de la spiraloïde antérieure à 0,0126 de la longueur des spirales se trouve au delà de l'horizon du point d'observation (fiches 7 et 8).

Cet horizon prend la forme d’un cercle vu de son centre.

Si l'on examine les spirales conduisant les photons que nous observons, on s'aperçoit que toutes convergent (fiche 12) :

1 au point d'observation, sur la surface actuelle ;

2 à chaque demi-tour, sur l'axe de l'Univers passant par le point d'observation ;

3 sur le cercle-horizon.

Chaque point du cercle horizon est vu du point A dans une direction correspondant à la tangente à la spirale au point A (fiche 22).

L'ensemble des points de l’horizon est vu sous forme d'un cercle démesurément grand, alors qu’il était plus petit (fiche 20), cercle situé sur le cône formé par la rotation des tangentes aux spirales (cône de lumière passée). Les segments-génératrices du cône ont la longueur des spirales : 13,7 milliards d’a.l. (moins la partie extrême invisible)

Deux spirales différentes se coupant à chaque demi-tour, il en résulte les phénomènes suivants :

a) le diamètre apparent des objets observés passe par des phases de minimums qui devraient être observables et des phases de maximums invisibles (fiche 17) ;

b) aux divers points de convergence (à chaque demi-tour), on ne peut rien observer (fiche 19) ;

c) au delà des points de convergence, l’image est inversée (fiche 17).

Ce phénomène s’est produit pour la dernière fois à l’âge de 8 G.a.l. de l’Univers (il y a 5,6 milliards d’années, fiche 12).

 

L’aperçu B concernera la troisième dimension de l’espace-temps, celle dans laquelle nous vivons.