Les différents auteurs en cosmologie signalent plusieurs problèmes qui ont intrigué par le passé la communauté des astrophysiciens. J'ai noté : - Le ciel noir ; - l'interaction entre objets trop éloignés ; - l'horizon cosmologique ; - le minimum de diamètre apparent des galaxies - la naissance de l'Univers. Je considère que l'observation de ma spirale (première dimension) et de ma spiraloïde (deuxième dimension) résout les quatre premiers de ces problèmes.
LE CIEL NOIR. J.M. Lévy-Leblond formule ainsi cette "énigme cosmologique majeure", qu'il appelle le "paradoxe de la nuit noire". Si l'Univers est infini et homogène, alors dans quelque direction que nous regardions, notre regard devrait buter sur une étoile…et le ciel devrait nous apparaître aussi brillant que le soleil. Le soleil lui même étant caché par la Terre. Ce paradoxe n'existe pas dans la construction géométrique de l'Univers que je propose (voir par exemple le dessin de la fiche 8). Les photons qui nous arrivent par la spirale (première dimension) proviennent de régions où les galaxies sont moins nombreuses, ou pas encore nées de la matière. De plus cette lumière nous arrive (deuxième dimension), de toutes le directions de la spiraloïde, donc infiniment atténuée. Dans la troisième dimension, elle nous arrive de toutes les directions de l'espace (de la sphère céleste). Quant aux photons des origines, on sait que nous n'en recevons que des ondes radio invisibles. La lumière des origines nous rattrape dans notre expansion, avec une longueur d'onde démesurée, impossible à détecter visuellement. Dans la définition que nous soumet J.M. Lévy-Leblond, (il n'est pas dupe), il y a deux erreurs : L'Univers que nous observons n'est pas infini dans le temps, puisqu'il a commencé au Big-bang. Il est simplement illimité dans l'espace. Il n'est pas homogène puisque, vu dans le temps passé, il est de plus en plus dense et pauvre au fur et à mesure de l'éloignement.
INTERACTION IMPOSSIBLE OU ERREUR D'OPTIQUE ? Ce problème a été traité à la fiche 22
L'HORIZON COSMOLOGIQUENous l'avons étudié à la fiche 13 et 13B.
LE MINIMUM DE DIAMETRE APPARENT DES GALAXIESNous avons étudié cette observation à la fiche 11
LA NAISSANCE DE L'UNIVERSC'est l'énigme des énigmes. Ma spirale logarithmique V/V pose d'abord le problème en terme d'abstraction mathématique. La spirale se poursuit indéfiniment vers l'intérieur, sans jamais changer sa forme. Elle n'a ni commencement ni fin, et pourtant elle se rapproche indéfiniment (sans jamais l'atteindre) d'un point particulier, qui est le centre des cercles concentriques ayant permis de la construire. Elle est fractale. Par contre la spirale de la lumière, courbe concrète, physique, a bien, elle un commencement, un point de référence à partir duquel on peut mesurer dans un sens, par le fait que les particules physiques, les "quantons" de lumière, ont une dimension. Par le fait aussi qu'il a existé, à la trois cent millième année après la création de la matière, un phénomène appelé déconnection matière-lumière. Mais je trouve intéressant que mon hypothèse mathématique oriente la recherche de l'explication du commencement.
DISGRESSION :
On connaît les liens qui unissent mathématique et musique. Alors écoutons André Verdet :
Serait-il possible d'envisager Sans rire que la théorie Scientifique de l'Univers Pût un beau jour s'adjoindre La théorie musicale Revue réadaptée Réorchestrée selon Savants et musiciens Poètes et philosophes |